maybe stronger than love (m&t)

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Mac && Taissa

Impossibly jalous, but what’s with that. Kind of stronger than love
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Une soirée plutôt ennuyante je dois être honnête. Le boulot s’annnonçait trop tranquille et je n’aimais pas vraiment cette idée. Il devait y avoir une livraison à la frontière de Seattle au nord et je n’avais pas encore eut de nouvelle de Taissa qui en était en charge. Je dois le dire, je n’étais pas de bonne humeur. Pourquoi ? J’avais fait quelques constatations plus tôt dans la journée et j’étais acrant et pas qu’un peu. Il y avait ce nouveau que je n’appréciais pas vraiment. Pourtant, je ne l’avais jamais rencontré, mais je ne le sentais pas plus ce mec. J’étais inconfortable à l’idée qu’il travaille pour moi, ou à mon compte, comme vous voulez. Non, j’ai pas la grosse tête! Bon, d’accord, peut-être un peu! N’essayez pas, je ne confirmerai pas ce dire plus que ça. J’étais au point de rencontre, j’attendais de ses nouvelles, j’attendais qu’elle débarque, mais elle s’entêtait à ne pas arriver. J’ai toujours eut horreur d’attendre, donc cette attente me rendait de plus en plus insupportable. Je passe mes mains sur les poches de ma veste, puis sur celles de mon jean et agrippai du bout des doigts ce bon vieux paquet de cigarette. Théoriquement, j’avais arrêté, mais on dirait que non. J’en glisse une entre mes lèvres et l’allumai. Je m’appuie contre un arbre espérant me calmer un peu et voilà que je me mets à grogner dans ma barbe. Il était temps qu’elle arrive, j’avais un sac à vider et j’en avais assez d’attendre après elle. Je l’attendais depuis quoi, quinze minutes ? Je sais ma patience est courte, très courte. Beaucoup le savent que je n’ai aucune patience et ce n’est qu’elle qui joue avec, bon dieu qu’elle me rend fou à tous les jours. Sans exception, elle trouve toujours une façon de me faire perdre la tête. Je croise les bras, tout en restant bien immobile, des lunettes fumées sur le bout de mon nez. Des pas se firent entendre et je serre les dents. J’espère bien que c’est elle.

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mac&taissa.

lorsque je croises quelqu'un que je connais à la rue, on me demande la même question, toujours: pourquoi, Taissa ? pourquoi ce changement ? mais je ne réponds jamais, la vérité est que même moi je ne sais pas pourquoi des fois, mais dès que je me suis réveillée dans ce lit d'hôpital il y a de cela trois ans, j'ai réalisé que je n'étais plus la même au fond et que ma vie risquerait de prendre un virage. et c'était bien le cas, je me suis échappée de l'hôpital et cette nuit ma vie a changé lorsque je suis tombée sur Tobias, Tobias était un vieux client de ma mère, lorsqu'il n'avait encore qu'environ dix sept ans et il m'a reconnu sur le champ, après quoi il m'a offert une chambre à sa maison et un job au café, mais bientôt j'ai découvert ses affaires pas très légales et la première chose à laquelle j'ai pensé c'est que je voulais en faire partie. Aujourd'hui me voilà, cela remonte à trois ans que je fais partie d'eux, Tobias en prison, et moi à la frontière de Seattle, debout seule avec environ cinq hommes bien costaux bien robustes, et je penses à ce que je ferais s'il m'attaques en même temps. bon, vous complétez votre part du marché ou on en reste là toute la nuit, mes chatons ? bien sur je ne pourrais jamais les battre, ils sont plus forts et plus nombreux que moi, mais je pourrais toujours mentir et dire qu'il y a quelqu'un qui nous surveille non loin d'ici, quelques astuces utiles que j'ai appris de Skyler et Tobias.

en mon chemin de retour je comptais l'argent, c'était un petit deal mais l'argent est toujours ce qui est d'important, la dernière fois que je n'ai pas compté ce que je recevais j'ai été giflée par Mac que ma joue est restée bleue pendant trois jours et j'ai du expliquer à mon boss au café que j'avais un petit ami violent. en marchant je levais à peine la tête pour voir où j'allais et quand j'eus fini je ramassa le pognon et je me trouvais bientôt nez à nez avec Mac, un sentiment assez étrange m'émerge et je baisses les yeux en faisant un pas en arrière, je lui tend l'argent sans pour autant le regarder, de peur qu'il puisse lire dans mes yeux. j'ai bien compté cette fois.

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Mac && Taissa

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Et finalement, la voilà. Je n’étais pas très souriant, j’avais envie de hurler, d’arracher chaque cheveux de sa tête, de ce mec qui me rendait fou. Sûrement de la tête de la blondinette, mais une gifle du revers de la main est plus simple. Je la regarde, toujours cette cigarette entre les lèvres. Son retard m’irrite et j’ai envie de la renvoyer chez elle d’un bon coup, mais non, je l’Envie disparait après quelques secondes. Je lui arrache l’argent des mains et calcule en silence, marmonnant les chiffes. J’enfuie ensuite l’argent dans la poche arrière de mon jean et crache ma cigarette au sol. Je l’écrase de la pointe de ma botte et me redresse de l’arbre et fait un pas vers elle. J’agite mon briquet dans ma main, l’ouvre et le referme à plusieurs reprises m’approchant d’elle encore une fois. Je m’arrête à trois pas d’elle et la regarde. Je croise les bras gardant un lourd malaise entre nous deux. Pourquoi est-ce que je faisais ça ? Aucune idée. Honnêtement, je ne savais pas toujours ce que je faisais avec elle. Je lui agrippe le poignet la tirant vers moi d’un coup. Je la plaquai contre moi la regardant encore. Je gardais sa main dans les airs au-dessus de sa tête. « Qu’est-ce que tu fais avec ce nouveau. » Je me fichais un peu de savoir ce qu’il y avait avec cet argent, peut-être que c’était de faux billets, ou des billets marqué, je me foutais un peu de comment le payement c’était passé. Ce nouveau, je n’avais pas du tout confiance en lui et elle se rapprochait trop dangereusement de lui. Je la plaque contre l’arbre sur lequel j’étais appuyé quelques instants plus tôt. Je lui lâche finalement le poignet pour lui agripper le menton la forçant à me regarder. J’attendais une réponse et j’avais la vague impression qu’elle ne voudrait pas répondre, donc je répétai. « T’es sourde ? Qu’est-ce que tu fiches avec le nouveau! » Je croise son regard et honnêtement, cette petite étincelle qu’elle avait dans le regard me fit relâcher la pression que j’exerçais sur sa mâchoire. « Qu’est-ce qu’il a ce connard? »

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je lui tends l'argent, je ne le regardes pas, je sais de quoi il est capable, c'est alors qu'il s'approcha de moi, son briquet à la main qu'il tournait en me contemplant, j'imaginais le pire mais je ne croisais pas son regard, je ne bougeais pas un pouce non plus, on ne le sous-estimes jamais alors je suis toujours prête à tout quand je suis auprès de lui. mais jamais, je dis bien jamais, j'aurais cru qu'il ferait ce qu'il vient de faire. il me prend par surprise et tous les muscles de mon corps se contractent, il agrippe mon poignet et je suis forcée à le regarder, premier contact visuel depuis que je suis venue ici, je le regardes alors dans ses yeux émeraude, si on n'était pas dans cette position, ni dans ces circonstances j'aurais pensé que ses yeux étaient beaux et qu'ils méritaient d'être remarqués plus souvent. il me pose une question, il me pose la question et j'hésites entre être heureuse qu'il s'intéresse à moi ou être en colère contre ses manières et la lueur de ses yeux qui annonçait un meurtre, je ne voyais pas ce qui pourrait être plus pire que ça, alors je ne réponds pas dans une tentative de protéger Skyler. mais les choses empirent, moi qui m'attendait à une autre gifle me retrouva adossée contre un arbre et complètement collé à lui, je sens la chaleur de son corps contre le mien et les battements de mon coeur accélèrent, mon regard bascule de ses yeux qui n'annonçaient rien de bon à ses lèvres qui s'approchaient dangereusement de moi, et je ne sais plus à quoi m'attendre. je réalises qu'il n'est pas prêt à lâcher l'affaire, il veut sa réponse et il l'a veut au point de lever sa voix sur moi, et je fermes les yeux pendant quelques secondes en soupirant pour me calmer. qu'est-ce que tu penses ? je suis entrain de l’entraîner. ce n'était pas faux, mais ce n'était pas tellement vrai non plus, Skyler et moi sommes un peu plus que juste des collègues, mais je ne peux rien lui dire, pas dans cet état, pas dans cette position. lorsque je ré-ouvres les yeux je les pointes directement vers les siens, et je sens son corps bouger contre le mien pendant ce qui me parut comme une demi seconde et ainsi je retrouves le courage lorsque la pression de ses doigts sur mon menton rabaisse. et ne l'appelles pas comme ça.

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Je n’avais aucune idée de comment ce mec était arrivé dans mes rangs. On arrive comme ça et on me dit qu’il y a un nouveau qui vient de débarqué. J’avais été clair, je ne voulais rien savoir de lui, il était hors de question que je le rencontre une seule fois, de peur que ce soit un pourri de flic et que je me ramasse en taule comme Tobias, ou ma mère, je voulais être meilleur qu’eux. Réussir était mon plus grand but. Ce mec, sans même le voir ne me plaisait pas, je n’avais pas confiance en lui, pas une seconde et je sais que si je tombais sur lui, je ne pensais qu’à le tuer de peur qu’il nous trahisse, qu’il trahisse mon nom. Finalement, j’aimais bien que les autorités me nomme Tarzan. Ça me permet de vivre sans que l’on me cherche constamment. Je n’aimais pas courir, je n’avais jamais aimé. Preuve, j’avais toujours cette arme non enregistré à ma ceinture, au niveau de mon dos. Je la regarde droit dans les yeux et je ne crois pas une seconde en ce qu’elle dit. Je n’aime pas que l’on me joue dans le dos. Je la fixe, intensément et reste soudainement silencieux. Je la regarde, elle était presque insaisissable, je dois dire honnêtement, quelque chose chez elle m’attirait peut-être un peu trop. Je n’aimais pas du tout le fait qu’elle soit en compagnie de ce mec, ça me mettait en colère, je bouillonnais de l’intérieur, si je pouvais, je démolirais cet arbre derrière elle, mais je sais bien que ce serait mes jointures qui allaient exploser si je le faisais. Je sentais le mensonge dans sa voix et je n’aimais pas ça. « Ouais, c’est ça, je ne te crois pas, tu mens très mal. » Je lâche son menton et frappe finalement dans l’arbre, juste à côté de sa tête, très près. Je me penche vers elle, mon visage se retrouve à quelques centimètres à peine de son visage. Je la regarde droit dans les yeux et fronce le regard. Je sens son cœur qui s’est emballé et je ne sais quoi en penser, le mien aussi s’emballe, sanas comprendre. « Je n’aime pas quand tu mens Taissa. » Je me surprend moi-même a fixer ses lèvres un instant et je la regarde à nouveau dans les yeux et mes doigts glisse sur le bout d’une mèche de ses cheveux.

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je ne sais pas quoi faire, je ne sens aucune différence entre cet arbre derrière et moi même, nous sommes tous les deux incapables de faire un seul petit mouvement, la seule chose qui nous diffèrent c'est le fait que ma respiration s'accélère et qu'elle s'accorde étrangement avec la sienne, je me demandes alors inévitablement s'il est aussi nerveux que moi, mais je chasses l'idée de ma tête étant sûre que Mac n'était pas comme ça et qu'il ne le serait probablement jamais, pas avec moi en tout cas. je sens ses yeux crever les miens, ils portent tellement de force, tellement de possibilités et si peu de limites qu'ils pourraient très bien me dévorer vivante. mais ce n'était pas comme si cette situation me dérangeait, moi adossée à cet arbre et lui collé contre moi, j'osais même penser que c'était d'une certaine manière agréable mais je me surprenais tellement que ma nervosité s'aggravait. il réalise que je mens et un sentiment de peur s'allume en moi, je suis perdue: devrais-je avoir peur de lui étant l'homme qui m'a giflé plus d'une fois et qui a la capacité de faire de moi ce dont il a envie, ou devrais-je ressentir cette étincelle, cette attirance qui m'empêche de me détacher de lui en ce moment même et aller voir ailleurs ? pour moi, Mac est un puzzle que j'arriverais difficilement à déchiffrer. il m'intrigue et éveille en moi d'étrange sentiments de vouloir à la fois l'embrasser avec tellement de passion ou alors envoyer mon poignet dans son visage et l'abandonner une fois pour toute. il sait que je mens, il sait. concentres-toi Taissa, et son visage se rapprochant d'avantage du mien me laisse perplexe et avide d'en avoir plus, ses doigts touchèrent mes cheveux et un frisson parcourt le long de mon corps. Mac ... ? je tentais du mieux que je pouvais de contrôler ma voix qui vibrait déjà. mes mains se posèrent sur les siennes, et remontèrent le long de ses grands bras qui ne manquèrent pas de me surprendre, mon regard ne le quittait pas lorsque ces derniers se reposèrent sur ses épaules. Mac, pourquoi tu fais ça ? je me retenais de poser mes doigts sur ses lèvres, de sentir leur force, de les sentir contre les miennes.

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Elle prononce mon nom et pourtant, je ne l’entends à peine. Je ne sais pas vraiment ce qui est en train de se passer. Ce qu’elle me fait en ce moment, je ne l’ai jamais vraiment eut. Je n’ai jamais cru avoir un soupçon de cœur et elle vient d’installer se doute dans ma tête et ça ne me plait pas plus que ça. Je n’ai jamais vraiment aimé tout ce qui attrayait aux sentiments autre que la colère, puis que celui-là je le connais depuis tout jeune grâce à mon père. Je n’ai jamais la compétition et ne me demandai pas comment, mais savoir que ce mec lui rôde autour ça me rend agressif, autant avec elle qu’avec les autres. Certains l’ont senti, surtout ma sœur qui sait très bien que je ne suis pas dans mon état normal depuis quelques temps et moi je sais très bien que c’Est dans sa tête. Je suis tout à fait normal, il n’y a rien de bizarre avec moi. Je fixe ses lèvres une fois de plus et je me surprends à approcher mon pouce de sa joue. Je sens ses mains glisser sur mes mains, mes avant-bras et mes bras. Ses mains s’arrêtent sur mes épaules et je la regarde dans les yeux de nouveau. Je n’ai aucune idée de ce qui me prend et j’ai l’impression d’être nerveux, plus que tout à l’heure. Une cigarette s’impose. D’un bon, je retire ses mains de moi et me recule. Je passe ma main dans mes cheveux et lui fait dos un instant. Nerveusement je sors une cigarette de ma poche et la glisse entre mes lèvres. Elle savait que j’avais arrêté, mais elle ne savait pas que pas vraiment. J’étais un énorme menteur et elle devait comprendre ça. Je souffle au ciel et passe ma main sur ma nuque et grogne un coup. « J’aime pas que tu traines avec ce mec. » Fait quelques pas en s’éloignant et se tourne vers elle après quelques pas, encore fixé sur ses lèvres. Merde, mais j’ai quoi depuis quelques minutes. Je lève les yeux vers son regard et tente de garder le fixe, mais ce n’Est pas toujours facile, mais vraiment pas. Je m’accroche à m a cigarette et je finis par me justifier, sans même en avoir besoin. Je n’ai jamais besoin de me justifier avec mon gang. « Je ne lui fais pas confiance. »

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je ne m'attendais franchement pas à ce qu'il me réponde, on ne s'attend à vraiment rien si on connait Mac de la façon dont je le connais, tout ce que je voulais à fur et à mesure qu'il s'approcher de moi est de céder à son pouvoir sur moi, de céder à ces lèvres, à ses yeux, à son tout. c'est alors que lorsque son visage s'approcha d'avantage vers le mien, je fis de même, et nos lèvres n'étaient plus loin, au bout d'un fragment de seconde nous sommes restés dans cet état, avant que je ne sentes son corps se crisper contre le mien, et sans prévenir, sans se retirer doucement de la façon dont tous les hommes que je connais font, il s'éloigna de moi brusquement, il s'éloigna et je sentis mon coeur tomber, quelque chose en moi s'éteindre. il allume une cigarette et la lumière de celle ci dans le noir était perçante, je pensais qu'il avait arrêter de fumer, mais apparemment pas. je passes mes mains sur mon visage, pas du tout sure de ce qui venait de ce passer, mes jambes me lâchaient et j'essais de me retenir de tomber par terre, je refuses d'avoir l'air faible quand je suis avec lui, pas lui. je soupirais et l'air frais de la forêt remplit mes poumons, je m'apprêtais à aller ouvrir la porte de la voiture et je me dirigeais déjà vers celle ci quand ses paroles m'arrêtèrent sur le champ et je restais figée dans ma position pendant un moment, ah non tu n'aimes pas ça, Mac ? je n'étais pas sure que lui dire. Arrête un peu, Skyler n'est pas comme ça. Si quelqu'un mérite de la confiance entre nous tous ce serait bien lui. dis-je, lasse de cette situation, dans ma tête les questions n'arrêtaient pas d'éclater et cette situation m'était péniblement supportable, je me décidais alors de nourrir ma curiosité, qu'en soit-il ne prix. Qui est-ce qui est entrain de mentir maintenant hein, Mac. je me diriges directement vers lui, décidée. je m'arrêtes devant lui, et je lèves la main pour lui retirer cette cigarette des lèvres, je la jette par terre en l'écrasant, mais je n'y prêtais pas attention, toute mon attention était portée sur lui et sur mon courage brusque qui ne manque de nous surprendre, tous les deux surement. Dis-moi la vérité. mon regard était sur de lui, mais il ne risque pas de l'être pour longtemps.

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Confiance ? Moi qui pourtant avait toujours eut horreur de ce terme, je venais tout juste de l’utiliser. Je n’avais confiance en personne, pas même en Taissa, mais pourtant je la laissais faire ce qu’elle voulait. Je n’avais pas plus confiance en ma sœur, même si elle se trouvait à être mon sang, ma famille. La seule personne en qui j’ai confiance c’est moi et personne d’autre, donc lorsqu’elle me parle de confiance, je me permets de pousser un rire noir et saccadé. Il était faux, mais puissant. Jamais je ne pourrais faire confiance à un nouveau, ou plutôt à ce mec qui me donne l’impression d’être trop près d’elle, même si je ne l’avais jamais rencontré. Tout ceux qui tourne autour de Taissa, c’est simple, je ne les aimes pas. Je reste loin, je m’éloigne, fume et regarde quelque part, mais plus vers elle qui décide de s’éloigner. Elle puis son histoire de confiance. Je faisais confiance à que je voulais, elle devait me faire confiance. J’étais un très grand menteur et rarement je me trahissais, en réalité ça n’arrivait jamais et pourtant, elle savait que je mentais. J’eus cette question, comment le savait-elle. Je restai bien droit en relevant les yeux vers elle, elle avait changé de trajectoire, elle se ruait vers moi, assez décidée, ferme et fière. Je figeai, qu’Est-ce qu’elle avait en tête. J’étais honnêtement, surpris de ses agissements. J’arquai un sourcil la laissant faire, mais pourtant, j’aimais bien cette attitude, cette nouvelle Taissa me donnait envie de sourire, mais je ne le ferai pas. Elle m’arrache ma cigarette et je fronce les sourcils et croise les bras sur mon torse en serrant les poings. J’ai un coin de ma lèvre qui se lève et je pousse un léger grognement. Ça je n’aime pas ça. Je garde le silence, lourd, très lourd, je n’avais pas envie de lui répondre, mais je bouillonnais de l’intérieur et j’Explosais petit à petit. J’ai les oreilles qui sillent. Je l’agrippe par la gorge et l’approche de moi à nouveau, sa tête légèrement remonté vers mon visage. Je la fixe droit dans les yeux, toujours aussi silencieux. Un léger vent se lève. « Qu’est-ce que tu veux entendre Taissa. »

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assez. j'en avais assez de ce petit jeu entre nous, je n'aimes pas qu'on me fasse danser pour un rien et je penses que c'est ce qui m'a donné le courage d'aller vers lui car en temps normal je ne l'aurais pas fait, j'aurais eus peur, j'aurais vu le pire des cas dans ma tête et je n'aurais jamais osé le faire. je me mets devant lui et il me regarde attentivement, incertain de ce que je ferais mais il savait sans doute que je ne pourrais pas faire grand chose, petite blonde faible que je suis, peu importe l'image que je projettes devant les clients ou celle que je projettes devant les autres membres du gang, lui, quand je suis devant lui je me sens nue, je sens que je suis un livre ouvert à sa disposition ou une de ses cigarettes, qu'il peut flipper dans ses mains comme il veut, et j'en avais marre de l'être. mon regard bascule de ses yeux vers cette cigarette que je retires violemment d'entre ses lèvres. je lui demandes de me dire la vérité, de ce qu'il ressent, de ce que nous sommes mais il était bien loin de vouloir me répondre. il me regardes alors pendant quelques secondes, et ma poitrine monte et descend dans des mouvements plus rapides, la peur m'emballe mais la nécessité de savoir aussi. je pousses un petit cri de surprise lorsqu'il me prend par la gorge et me colle à lui, ses mains féroces et son regard violent me répétaient sans cesse que c'était une mauvaise idée, mais je suis déterminée. mes mains se posent automatiquement sur les siennes par réflexe, mais après quelques secondes seulement je réalises que je n'ai pas à me débattre, alors je les poses sur son torse où je peux déjà sentir son coeur. dis-moi ce que tu ressens Mac. je sens mes se soulever légèrement et mes orteils toucher presque le sol et je suffoquais mais je ne disais rien de plus.

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Ses mains sur mon torse, oula, mais c'Est quoi ce truc dans ma poitrine. Je la fixe, serre invisblement les dents et respire par le nez. Je ne comprenais pas ce qui était en train de m'arriver. Ce qu'elle me faisait vivre depuis quelques temps, ça me rendait fou, je ne savais plus vraiment à quoi penser d'elle, de moi quand elle était là. Étais-je trop violent avec eux ? Silence. Naah, je ne le serai jamais assez, je suis trop généreux avec eux et je dois le dire, laissé Cera les rassurer ensuite me dérangeait constamment, mais pourtant à chaque fois que je levais la main sur Taissa, j'avais toujours se petit regret qui hurlait derrière cette colère un peu trop forte. Je n'y jamais porter attention. Je porte jamais attention à ce qui se passe dans ma cage torassique, mais cette fois, ma main contre sa gorge, son regard dans le mien, le tout s'active. Tout s'emballe dans ma cage torassique, mon coeur bat de plus en plus vite, juste à son touché et ma respiration plus rapide. Dire ce que je ressens? Non, impossible, je ne le savais même pas, alors comment le dire. Je baisse un instant les yeux et je fixe un court moment ma main et la retire tranquillement, laissant mon pousse glisser sur son menton. Je fixe un instant ses lèvres, un instant qui me parut une éternité et je l'agrippe soudainement par la taille la soulève et m'avance jusqu'à un arbre sur lequel je la plaque. Je me retrouve coller contre elle, son visage au niveau du mien. Mon visage à quelques centimètres du sien, je peux sentir son souffle contre mes lèvres et pourtant je reste immobile, je la fixe.

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ce soir, je vais suffoquer ou connaitre l'amour, deux choses bien contraires mais qui pourraient très bien être possibles. je sentais que ma vie s'échappaient d'entre mes doigts mais si je pouvais mettre un ticket de prix sur ma vie, je l'aurais fait car à mes yeux ce n'est pas quelque chose de très coûteux, pas après mon changement non. mes mains commençaient à trembler contre son torse et je pouvais sentir son coeur battre de plus en plus vite, une lueur dans ses yeux apparut, une lueur que je n'ai jamais vu avant et qui me donnait tout genre d'espoir. et enfin, Mac me relâcha, mes pieds retombaient sur terre, mes poumons se remplirent d'air de nouveau et j'étais haletante, tout cela sans vraiment le quitter du regard. sa main cible ensuite mon menton et je le laisses faire, s'exprimait-il devant moi d'une façon différente ? que ce soit en mots, en signes, en gestes, je m'en fous tant .. tant qu'il le fasse. dans un geste vif il me plaqua contre un arbre, je ne sentis même pas le coup violent dans mon dos, trop préoccupée par lui, par sa force, sa masculinité, mais surtout son visage qui s'approchait de nouveau vers moi, mais jamais comme avant, d'une certaine manière ses gestes sont plus désireux, moins imprudents qu'avant. je sens sa respiration contre mes lèvres et mes mains traversèrent le long de son torse dans un geste ralenti, un geste qui profite de chaque contact contre ce corps que j'ai tant désiré, mais surtout dans la personne que j'ai tant désiré, je me pensais seule dans la bataille contre mes sentiments, mais je n'étais pas seule après tout. mes mains s'arrêtèrent sur sa mâchoire qui se contractait à chaque toucher. je mourrais d'envie de l'embrasser, je voulais le faire plus que tout au monde mais j'ai peur d'avoir tord, peur d'avoir pris la mauvaise décision alors je traîne un doigt sur ses lèvres les traçant de tous les côtés. fais-le. soupirais-je presque en effleurant mes lèvres contre les siennes tout en fermant les yeux pour tenter de me calmer.

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Pour la première fois depuis sept ans, je suis impuissant face à une femme, oui, je l'ai dis, j'ai vraiment dit ça, mais pourtant ce n'était pas si désagréable que ça. Je n'aurais pas crut qu'une fille comme elle, faisant tout pour faire du tord à sa famille, qui ne tient plus vraiment à la vie me fasse autant d'effet. Je doit dire que ce qui m'a allumé ce soir, c'est son culo de me tenir tête. Ce qu'elle venait de faire, revenir vers moi, hausser le ton me tenir tête, j'en étais devenu fou. Ça prenait la tête. Je n'arrivais plus à réfléchir et cette proximité énorme m'empêchait de faire comme il se devait, de rester chef, de garder la hiérarchie entre elle et moi, mais je m'en sentais incapable. Je la regarde, droit dans les yeux, la fixe. Ma main glisse sur sa hanche et mon regard reste fixe. Son souffle, contre mes lèvres, je n'en avais qu'envie, mais est-ce que j'oserais ceder. Je ne devrais pas et pourtant, pourtant je l'avais fait, seulemennt en la plaquant contre cet arbre. Je la regarde et ses doigts glisse sur mes lèvres, j'eus un semblant de frisson et j'en fermai même les yeux. Cette sensation agréable ne m'étais jamais arrivé avannnntn et pourtant je ne détestais pas ça. J'ouvre les yeux à ses mots, elle avait fermé les yeux. Mon coeur court le marathon et mon souffle se coupe un court moment. Je ressers ma main contre sa hanche et de l'autre, je la lève du sol et passe ses jambes autour de ma taille avant de plaquer mes lèvres contre les siennes sans réflexion. Je l'embrassai avec une fougue que je ne me connaissais pas.

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je pouvais rester dans cette position pendant une éternité sans vraiment me plaindre. je me rappelles avant que je le fixais avec ces yeux pleins de désir, il faisait vibrer mon coeur et tout le restant de mon corps et il ne le savait même pas, de la façon dont il tape son poing dans sa paume quand il était entrain de parler de quelque chose d'important, de la façon dont il se gratte le sourcil quand il essaye de se moquer de quelqu'un, de ses cicatrices, de son tout. je me rappelles aussi qu'avant mon accident tout ce que je voulais c'est rencontrer un homme qui pourra me traiter comme une femme, quelqu'un qui est délicat et sensible, mais dans mon nouveau monde il n'y a plus de place pour la délicatesse ou la sensibilité et Mac est l'icone de mon nouveau monde. j'effleures mes lèvres contre les siennes et je sens la chaleur de son corps de plus en plus lorsqu'il se colle à moi, sa main sur mes hanches, puis sur mes cuisses et les frissons ne font que commencer, il sépare mes jambes et je les croises autour de sa taille. nos fronts se touchèrent au bout d'un moment puis l'imaginable est arrivé: il m'embrassait, ses lèvres aussi dures que le reste de son corps contre les miennes qui sont plutôt tendres, le sentiment qui me combla n'était rien comme ce que j'ai ressenti auparavant, du plaisir, du désir d'en avoir plus, de la chaleur, de la peur, de la confidence, de la joie, bref tout ça. et je profitais de chaque moment de cet instant, je l'embrassais avec tellement de passion que je me surprenais, je glisses alors une main sous son t-shirt et je sens son corps rude et ardent, prêt à tout.

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Vigilence, prudence, alerte, être aux aggets. Non, en ce moment, je ne l'étais plus et pour être honnête, je m'en fichais complètement. Son corps contre le mien me rendait fou, j'en voulais plus, sa peau contre la mienne, son souffle. J'en voulais plus, plus d'elle. Un frisson me parcours le dos, la colonne en entier. J'incline légèrement la tête sur le côté sentant la passion dans son baiser. Je me posais la question, pourquoi est-ce qu'elle pouvait ressentir quelque chose comme ça envers moi. C'était impossible pour moi de le croire, mais pourtant, c'était bel et bien en train d'arriver. Elle répondait à mon baiser et je n'arrivais pas à la lâcher. J'étais accrochà à elle, je pourrais la dévoré, me l'accaparé, là maintenant sur le sol, sur la terre, mais pourtant, je ne le fais pas, je reste accroché à ses lèvres, j'en profite, je profite de ce baiser, de sa peau, d'elle. Ses mains glisse sur ma peau, sous mon chandail, ça me rend fou. Je ressere mes mains sur ses cuisses me colle un peu plus contre elle, l'écrasant contre l'arbre. Je finis par poser ma main contre l'arbre, mais elle n'y resta pas longtemps, se glissant sur la joue de la blonde puis dans son coups. Je perd la tête, je lui tourne la tête lui embrasse la joue, puis le cou et je m'y attarde tout en m'accrochant de mon autre main à son jean et remontai sous son chandail, mon coeur s'emballe encore un peu plus.

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qui est-ce qui aurait pensé qu'on pourrait en arriver là, moi contre cet arbre et lui contre moi, nos lèvre scellés et nos corps collés, ma main sous son t-shirt sur son torse et la sienne qui pénétrait sous mon haut, sa main rude et forte provoquait en moi un plaisir fou et je ne pouvais que soupirer lorsque nos lèvres collés nous laissaient la chance de le faire. je sens son toucher puis ses lèvres qui basculaient vers ma joue, puis mon cou et je fermais les yeux pour profiter du plaisir et l'envie qui augmentaient en moi au fur et à mesure que ses lèvres font un contact avec mon corps. j'ouvre les yeux. un homme derrière lui avait une arme à feu dans la main pointée vers nous, je ne sais pas lequel de nous deux est sa cible mais il était hors de question qu'il le touche, tout mon plaisir tomba lorsque je vis son doigt toucher la détente. non ! est tout ce que je suis parvenue à dire, je poussais Mac tellement fort qu'il n'a pas eus le temps de résister qu'il s'est déjà retrouvé par terre, au même moment on entendit le coup du pistolet dans le silence de la forêt et avant que je pu réaliser ce qui se passait je me retrouvais déjà par terre à côté de Mac, la balle a touché mon épaule et le sang couvrait déjà la plupart de mes vêtements. la douleur traversait mon épaule vers tout le reste de mon corps et je m'empêchais de crier, j'entendis les pas de l'homme qui m'a tiré dessus s'éloigner de plus en plus vite vers le noir.

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Mac && Taissa

On aurait pu qualifier ce moment de quasi parfait, de parfait tout simplement. Je crois que je peux me le permettre, avec elle dans ce bois, ce moment, on pourrait dire que j’y aurais peut-être rêver à plusieurs reprises. Je l’ai peut-être de nombreuses fois déshabillé des yeux je l’avoue, mais j’ai toujours garder ces choses pour moi. Jamais je n’ouvrirais la bouche pour quelque chose que je fais avec la majorité des femmes que je croise et que j’installe confortablement dans mon lit avant de les amené au septième ciel. Mais, je dois le dire, avec Taissa, cette sentation était complètement différente. J’avais l’impression d’y monter aussi. Elle me rendait fou juste au touché. Je m’accroche vivement à elle, hume son odeur. J’embrassais sa peau, comme si c’était la seule chair que j’avais connu depuis des années. (Ce qui est totalement faux) Tout me semble d’aller bien, mais je manquai de vigilence. Tout s’arrêta à l’intérieur d’une seconde, un déclique, sa voix, un coup de feu et moi au sol, repoussé par Taissa. Durant ma chute mes yeux devinrent rond, je ne comprenais pas la scène, ni comment elle avait put me repousser comme ça. Je croyais qu’elle me repoussait pour ce que je faisais, jusqu’à ce que la balle siffle près de mon oreille. Je n’eus pas le temps de réagir qu’elle heurta Taissa de plein fouet. Mon cœur s’arrête, se propulsant dans le fond de ma cage torassique. Je l’observe tomber et je me retourne vers le tireur qui s’éloigne petit à petit. Je m’Emballe, la colère m’envahit, je me lève. «CONNARD! REVIENS ICI!» J’agrippe mon arme et pointe vers l’ombre en m’y engouffrant aussi. Je le cherche des yeux, mais je ne le vois pas. Un coup de feu retentit de nouveau et la balle frôle mon oreille. Je retiens un cri de surprise et pose ma main sur mon oreille, je saignais à peine. Je prend une grande respiration et dès qu’un son se fait entendre, je tire, puis un bruit sourd. Je baisse mon arme et reprend ma lucidité. «Taissa…» JE reviens sur mes pas et dès que je la vois, je laisse tomber mon arme, retire mon t-shirt et m’approche d’elle en la prenant contre moi. J’appuie sur la blessure, le regard froncé et silencieux.

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nous qui étions entrain de passer un des meilleurs moments de nos vies, ou au moins c'est le cas pour moi, depuis que je voulais me jeter sur lui et l'embrasser comme si c'est la dernière chose que je fais dans ma vie, je voulais sentir sa peau rude contre la mienne qui est délicate, je voulais plonger mon regard dans ses beaux yeux qui m'ont toujours attiré depuis le jour où je l'ai rencontré, je voulais ne faire plus qu'un avec lui. et pourtant nous voilà, plus séparés que jamais. la douleur me tuait, et je me sentais entrain de vider de mon sang et paniquer quand je sens que mon haut devient de plus en plus mouillé. j'entends Mac crier de toute ses forces et mon coeur s'emballe du fait qu'il ait après lui, ce type en avait clairement après lui et le suivre serait donc un réel danger, mes yeux les suivaient mais les perdirent à un moment et je paniquais, en conséquence je sentais que j'allais perdre conscience dans un moment ou un autre, mais pas encore, je dois m'assurer qu'il va bien. je le regardes alors s'approcher de moi en courant et je soupire, remerciant le ciel qu'il est sain et sauf, à part son oreille qui saignait sur son coup. il retira son t-shirt et mon état ne fis qu'empirer, voir toute cette chair je ne voulais que le toucher, oubliant complètement la situation où je suis pendant un moment. tu retires ton t-shirt pour moi ? je suis flattée. dis-je difficilement et en haletant, c'était surtout pour le calmer un peu car il porte ce regard que je peux identifier comme de l'inquiétude. je me demandes où je pourrais bien aller, l'hôpital demanderont trop de questions et on pourrait être impliqués dans des affaires de police et c'est exactement ce qu'on cherche à éviter. je sens que mon front et mon cou sont en sueur et je cris lorsqu'il serre son t-shirt autour ma blessure. tu sais, si tu m'abandonnes ici .. je .. je comprendrais, je n'ai pas peur de mourir. je lèves ma main pour la déposer sur sa joue.

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C’était la pire vision d’horreur que je pouvais avoir. La seule personne qui avait su m’intéressé, couvert de sang et au sol. JE devais reprendre le contrôle de mon corps, de ma chair, de ce sang qui bouillonnait dans mes veines. Mes muscles étaient tendus, trop sec, je serai les poings, les dents, la mâchoire serré. Je sentais ma gorge se serrer. On en avait après moi et le fait de me rapprocher d’elle devenait trop dangereux, autant pour elle que pour moi. Est-ce que j’oserais simplement l’avoir en ma compagnie, ou allais-je tout gâcher. Je la regarde se vider de son sang, je devais agir vite, très vite. Un court moment de réflexion et je me redresse et m’éloigne d’elle. Je m’enfonce dans le noir après avoir récupérer mon arme. Je me faufile entre les arbres et me heurte à un engin métallique. Je sors des clefs de ma poche et trouve le contact. Je démarre l’engin et monte dessus. J’allume les phares et revient vers Taissa sur ma moto. Je la cachais toujours à chaque fois que je venais, c’était toujours plus facile pour fuir. Je descend, laissant le moteur rouler. Je m’approche de Taissa. «Si tu croyais que j’allais t’abandonner ici, tu te trompe Taissa.» Je passe son bras autour de mon cou et la soulève de terre sans même avoir à forcer. Je marche vers ma moto et l’appuie contre cette dernière. «appuie sur la blessure.» Je me penche au ouvre le banc. J’enfile ce manteau de cuir que je cachais et la reprit contre moi, la soulevant de terre. Je chevauche le véhicule la gardant contre moi. Je reste silencieux et décole à vive allure la tenant fermement d’une main, l’autre conduisant.

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je suivais chacun de ses gestes, autant pour oublier ma douleur que par désir, ses yeux bleus semblaient plus sérieux, plus déterminés et sa mâchoire se contractait chaque cinq secondes. je voulais être avec lui, toujours mais je refusais d'être un poids lourd pour n'importe qui et donc certainement pas lui. s'il m'abandonne aussi mon coeur, ma fierté auraient été blessés mais j'aurais compris sa décision car avec tout ce sang le seule solution est de me pointer à l'hôpital, ce qui est impossible pour notre profession, autant mourir ici que de pourrir en prison avec le reste de ma famille, pas ma vraie famille, mais celle que j'ai connue pendant les années où ma vie avait pris un détour étrange, quand j'ai rencontré Tobias et que je compris que je pouvais lui faire confiance et m'appuyer sur lui. aujourd'hui Tobias est parti, mon protecteur, ma défense, mon bouclier et j'ai appris que je devais me protéger moi même. mais quand je surveilles Mac entrain de prendre soin de moi, je comprends que je ne suis plus seule et qu'il veillerait sur moi jusqu'à ce que je puisses le faire moi même. il me soulève et me retient contre lui en enfourchant sa moto, et le long du chemin je ne regardais que lui, ses yeux concentrés sur le chemin et son bras ferme me retenant afin de ne pas tomber, mais je ne voyais plus que lui. l'air glacial qu'il faisait surtout à cause de la vitesse me gelait, et je ne voulais plus rien que de m'endormir, contre la chaleur de son corps, je m'en fous si je ne me réveilles pas. j'ai froid Mac .. dis-je si faiblement que je me demandes même s'il m'a entendu sous le bruit de la moto.