⊱ EMPLOI/ÉTUDES : Étudiante en arts/serveuse au Hall&Oates Café & Cake
⊱ PSEUDO/PRÉNOM : Clumsiness.
Sujet: (m) COLTON HAYNES ✜ the ghost of you Sam 11 Oct - 13:14
Nash nom
{ Boy you never told me True love was going to hurt True pain I don't deserve Truth is that I never learn } CRÉDITS Ghost/Ella Henderson (lyrics) et tumblr (gifs)
à ma naissance, on a décidé de m'appeler Nash ou Niels ou peu importe ce qui vous plaira et mon nom de famille est donc Lowe ou Hewitt ou Clark, ce qui vous plaira. je suis né le date de naissance au choix à exactement lieu de naissance au choix mais aujourdui je suis à seattle, washington dc et je m'y plais bien. je suis d'origine origine au choix mais de nationalité nationalité au choix, dans la vie je suis métier ou étude aux choix et j'aime bien l'être. passons aux questions un peu plus personnelles, si tu te demandes à propos de mon orientation sexuelle je suis bien évidemment attiré par les femmes et c'est pour ça que je suis célibataire et ma situation financière est plutôt moyenne je penses que si je pouvais me décrire en quatre caractères, je serais bien amusant, protecteur, défaitiste, rancunier mais bon, personne n'est parfait c'est ce qui nous rend humains. mon état d'esprit maintenant que j'y penses doit surement être réaliste mais c'est ce que je suis !
⊱ Ems et lui se connaissent depuis la maternelle. ⊱ Nash est du genre geek, il pourrait passer des journées entières à jouer à Grand thieft auto IV. ⊱ Ils sont sortit ensemble il y a deux ans. ⊱ Nash garde autour du cou une petite chaîne à laquelle y est attaché la bague que Ems lui avait donné. ⊱ Ils sont sortis ensemble pendant un an et quatre mois. ⊱ Ils sont allés ensemble au bal de promo. ⊱ Avant qu'ils rompent, il voulait lui demander d'emménager avec lui.
Toi et moi on se connait depuis des lustres. Et pourtant, ces dernières semaines, c’est comme si je ne te connaissais pas. Aussi loin que je me souvienne, tu as toujours été là pour moi, dans mes joies comme dans mes peines. Toutes ces fois où tu as essuyé les larmes sur mes joues, toutes les fois où tu m’as écouté, sans me juger, une main sur l’épaule. Tu m’as toujours épaulé dans les moments difficiles. Je n’ai pas d’autre meilleur ami que toi. Tous les petits copains qui ont défilés sous tes yeux, et toi tu me disais qu’aucun ne me méritait. Aucun d’eux ne valait mes larmes. Alors que toi, tu enchaînais aussi les relations qui ne menaient nulle part parce que celle que tu attendais c’était moi. Toutes ces années de silence. Et je n’ai jamais compris. Jusqu’à ce jour où tu m’as tout avoué. Je te mentirais, si je te disais que je savais dans quoi je me lançais. Incertaine, interdite de cet affection. J’ai fait un saut dans le vide à ce moment-là. Après tout, tu m’attendais, patiemment, tapis dans l’ombre depuis bien des années. Pourquoi donc ne pas te laisser une chance.
Un an et quatre mois fut la durée de notre relation ponctuée de bien des disputes et incompréhensions. Nous étions plus des colocataires que des amoureux. De simples amis, nous demeurèrent, mais avec toujours ce petit sentiment qui nous habitait. La petite pointe de jalousie chaque fois que quelqu’un s’engageait dans une autre relation. Ce n’était pas faute d’avoir essayé, nous étions incompatibles sentimentalement parlant. Acceptant toujours un peu plus notre sort, nous restions bons amis. De fil en aiguille, nos contacts se firent moins fréquents, avec eux se rangèrent tous nos espoirs de recoller nos cœurs brisés.
Depuis donc quelques semaines maintenant, tu ne retournes plus mes appels, mes messages, mes textos. Toutes ces années d’amitié et là, maintenant, plus aucun signe de vie. Comme si notre amitié ne voulait plus rien dire pour toi. C’est comme si tu n’existais plus. Tu as balayé notre amitié, comme on balaie une mouche du revers de la main.
FLASHBACK, DEUX ANS PLUS TÔT:
Toi et moi avions l'habitude d’aller déjeuner ensemble ou bien simplement prendre un café pour se raconter des trucs, pour la plupart, anodins de notre vie. Notre amitié s’est formée devant la machine distributrice au lycée, d’une passion commune pour les Starbusts, pâtes à mâcher a saveur de fruits, emballés individuellement dans des papiers de couleurs. Depuis, on ne s'était plus jamais lâchés.
D'entrée de jeu, tu me balanças l'une de tes tirades, directes, Bam! J’avais à peine eut le temps de prendre une gorgée de mon cappuccino que déjà tu me balanças tes sornettes à la figure. T'adorais ça.
« Ça crève les yeux que tu en pinces pour lui! ». Confiant, sourire triomphant décorant son visage, t'étais on ne peut plus sure de ce que tu avançais et je détestais quand tu avais ce regard. « Non, mais tu délires, mon pauvre! ». Ce à quoi, je m’esclaffais, de plus belle. « Allez avoue-le, crache le morceau! ». Rétorquas-tu, l’air sérieux. « Eh puis quoi encore ». Je croquais ma brioche à pleine dent en te désignant du menton. « À d’autres, oui, moi je te connais trop! ». Répondis-tu, du tac au tac. « C’est rien qu'un collègue de travail, c’est tout » , me défendis-je du mieux que je pus.
Tu osas surenchérir - et t'y prenait un malin plaisir à voir ta tête - sur différents faits et gestes qui, selon toi, était un gage de mon affection pour lui, sur le fait que les rumeurs étaient peut-être vraies. Enfin, peut-être que quelques-unes étaient véridiques. Il était mignon, il me plaisait, point barre.
« Je continue ou tu en as assez ? », me défias-tu, en arquant un sourcil. « Vas s'y, fais toi plaisir! » , dis-je sur un ton las, question de t’agacer un peu pour que tu lâches le morceau. Comme prévu, tu déblatéras une suite de preuves tirées de ton raisonnement, qui selon toi, était suffisant pour me prouver que j’avais tort et toi raison. Je regardais par la fenêtre, ennuyée, tandis que tu stoppas net ton monologue. « Arrête un peu Ems, c’est plus qu’évident, en tant que meilleur ami qui te lasse manger les starbusts rouges, tu peux quand même m'obéir! » T'adorais la ramener celle-là. Rien que parce qu’une fois t'avais voulu me laisser mes préférés du paquet, je t’avais désigné comme étant le meilleur être vivant que je connaisse. Je n’osais pas ajouter quoique ce soit, sachant pertinemment que ce serait inutile puisque dès que j’ouvrirais la bouche, tu te précipiterais pour me clore le bec avec ses arguments à la con. Enfin si seulement j'avais su à l'époque que derrière chacun de ses faux sourires se cachaient un goût d'amertume et une pointe de jalousie, peut-être que les choses auraient été différentes.
NÉGOCIABILITÉ AVATAR ⊱ L'avatar est négociale pour Daniel Sharman, Kit Harrington, Jamie Blackley, bref proposez.NÉGOCIABILITÉ PSEUDO ⊱ Le prénom et le nom sont totalement négociables J'AI ENVIE QUE LE JOUEUR SE CONNECTE AU MOINS ⊱ 2-3 fois par semaine, enfin pour répondre à notre sujet, de temps en temps.J'AIMERAIS ÉGALEMENT QUE LE JOUEUR AIT UN NIVEAU RP DE ⊱ Une bonne orthographe, s'il-vous-plait, parce que les coquilles me sautent toujours au visage, j'y peux rien. Sinon, je ne demande pas des pavés, 20 lignes tout au plus. AUTRE CHOSE A AJOUTER ? ⊱ Si vous prenez mon p'tit loup, je vous promets des bébés et des rps ambiguës de malades. Et des bisous à l'infini, bien entendu