Elliot Jackson Altman-Thomas.
life's too short to have bas sexCRÉDITS bazzart
NOM, PRÉNOM COMPLETS ⊱ Elliot Jackson Altman-Thomas ÂGE DE VOTRE PERSONNAGE ⊱ 22 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE ⊱ 24 mars 1992. Saint Petersbourg, Russie. NATIONALITÉ ET ORIGINE ⊱ Américaine, d'origine Russe MÉTIER/ÉTUDES ⊱ 3ème année de médecine. SITUATION FINANCIÈRE ⊱ aisée. ORIENTATION SEXUELLE ⊱ hétérosexuel. SITUATION MATRIMONIALE ⊱ célibataire. TROIS TRAITS DE CARACTÈRE ⊱ fêtard, charmeur, impulsif. GROUPE SOUHAITÉ ⊱ optimist.
PRÉNOM/PSEUDO GRAPHIQUE ⊱ Noémie / Headen.
VOTRE ÂGE ⊱ 21 ans.
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? ⊱ Bazzart.
QU'EN PENSEZ-VOUS ? ⊱ le concept me plais beaucoup et le forum est magnifique ! Je suis sous le charme
INVENTÉ OU SCÉNARIO ? ⊱ inventé.
CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR ⊱ Zachary David Alexander Efron
.
FRÉQUENCE DE CONNEXION ⊱ 6/7.
AUTRE CHOSE A AJOUTER ? ⊱ Putain j'ai déjà envie de vous kiffer !
On va démonter la baraque !
tell me more, tell me more.
16 Février 2014,
Seattle, Club 54.
“__ «
Elliot ! » Cassandre galopa vers moi comme l'aurait fait un golden rot-river au retours de son maitre et entoura mon coup de ses bras fins. Elle était jolie, mignonne, mais c'était tout. Lorsque j'avais décidé de m'imposer aux yeux de tous en sa compagnie j'avais surtout pensé au fait qu'elle était de loin la moins malsaine de toute cette mascarade. Elle était certes assez limité mais au moins elle était sincère. J'éprouvais une certaines sympathie à son égard ce qui m'empêchais de me vanter de toutes les crasses régulière dont je la salissais – tromperie et autre jeux sournois -. Elle embrassa ma bouche amoché par l'altercation qui venait d'avoir lieu avec Robert Desnues – fils d'un héritier milliardaire qui profitait à présent du génie de son paternel en feignant diriger une des plus grosses entreprises distributrice d'un soda célèbre - et se précipita vers la table attraper quelques glaçons qu'elle déposa dans le torchon que je tenais avant de le reposer sur ma blessure de guerre.
__ «
Tu m'as fais si peur » dit-elle m'attrapant la main, me guidant ainsi jusqu'à la table.
Je m'affalais sur le sofa avec la seul envie de me rouler un joint et fermais les yeux. J'en avais foutrement marre de tout ce tapage. Cette routine m'agaçait. Des soirées de campus en présence de la totalité d'hypocrite apprenti médecin, là, simplement pour profiter de leur statut privilégié et drogué quelques filles a base de cachet magique qui les ferait tombé dans leurs lit au virée nocturne cocké jusqu'au pied au volant de porches avec ceux qui se disait mes amis mais qui au moindre problème me planterait un couteau dans le dos Je ne supportais plus rien.
La vérité, je le connaissait parfaitement ; je n'appartenais tout simplement pas a ce monde, j'avais beau avoir été malgré moi catalogué comme riche dût a l'onéreuse somme d'argent dont j'avais hérité de mon inconnu de géniteur, toute cette merde était loin de me correspondre. Je laissais allé mon tête contre le sofa et repensais a ce qui m'avais fait arriver ici précisément ;”
Saint-Pétersbourg, Russie,
1992.
Dans les ruelles sinistre et puantes des quartiers malfamés russes, prisonnière d'une hiérarchie dépourvue de droiture et d'intégrité, titubait sur des talons hauts à l'aide de ses toutes dernière force l'œuvre d'un réseau de proxénétisme de la plus haute importance. Lizaveta Agron était une « Шлюхи », plus communément appelée une pute, une prostituée, une victime, une donneuse de rêves, mais surtout, elle était la fille Alexander Agron dit « Little Al' » grand criminel américain. La voir ainsi abandonnée au milieu de la plus grande avenue de traite de femme du pays tout entier aurait put inciter quelques bonnes personnes à la moral irréprochable à vouloir la sauvé de ce monde sans pitié. Et pourtant, les apparences étaient plus que trompeuses. Liza n'était pas une victime, du moins elle n'avait pas conscience de l'être. Elle avait choisit cette vie. Humilié à de nombreuses reprise, salit par multiples hommes et laissé à l'agonie au bord d'un trottoir lorsqu'elle n'était plus d'utilité, Liza avait pourtant de multiples raisons de se désigner comme victime. Malheureusement, elle ne faisait que se contenter de sa misérable vie, pensant éperdument d'après ce qu'elle avait pus voir de l'humanité en globalité, que son existence n'était pas si douloureuse. Elle souffrait c'était certain, mais il devait bien y avoir quelque part ailleurs des personnes qui devaient souffrir bien plus qu'elle. Elle n'avait dans ce cas, aucun droit à la plainte. La vérité était que Lizaveta était animé par un sentiment qui la possédait tout entière à chaque seconde de son existence, elle ne vivait que pour ça. Depuis la mort de son père à l'aube de ses 14 ans dans de tristes circonstances, elle avait fuit l'Amérique et traversé l'atlantique pour oublié, ici en Russue, elle avait été recueilli par une grande famille, autrefoisen affaire avec son père, la « Bratsva » – mafia russe – et notamment par son dirigeant Ivan Ivanivitch Biersdorf. Il était son père, son bourreau, son mac, son frère et surtout son amant. Elle était en réalité seule victime du syndrome de Stockholm. Il avait beau user de toute les violences, elle ne pouvait le voir autrement que comme son âme-sœur, son sauveur. Ainsi elle s'exécutait au moindre petit ordre, sans s'opposer, car l'unique chose qu'elle redoutait était de le perdre. Mais à présent dans cette ruelle, jupe déchiré et larmes aux yeux, elle savait qu'elle devait prendre une décision qu'elle regretterait a jamais et ceux pour toujours. Inconsciemment elle se toucha le ventre et sut que c'était le prix a payer pour préserver son amour.
Vancouver, Californie,
2006.
Toujours dans une petite allée mais 14 ans plus tard voyait s'éclore le doux bijoux auquel elle avait donné vie. Agrippant, demi nue contre la paroi glaciale de l'avenue, une jeune fille aux jambes emprisonnées, suffocante à la venue du désir, happé par ses vigoureuses mains robuste, se trouvait celui qu'elle avait lâchement abandonné au détriment de son propre bonheur . Il s'appelait Elliot et contrairement aux apparence, la vie tout comme pour sa mère, ne lui avait pas sourit. Il avait quelques semaines a peine après sa naissance était « échangé », « prêter » a l'instar d'un simple animal de compagnie qu'on laisse afin de partir en vacance. Seulement ici, les vacances duraient depuis 14 ans déjà. Lizaveta Agron avait contacté une ancienne amie, danseuse qu'elle côtoyait alors que son pays demeurait toujours l'Amérique. Kaithleen. Elle n'était pas la mère parfaite a première vue, passé houleux, petit amie violent, sans un sou en poche. Mais elle avait quelque chose qu'on ne pouvait lui enlever, de l'amour a revendre. Et elle le donnait corps et âme a cet enfant dont personne n'avait voulu. Son existence tout entière tournait autour de lui. Et bien que « Craig » son petit ami depuis des années déjà n'est accepté cet décision elle endossait les représailles, travaillant comme une acharné en tant que serveuse dans un café le jour et comme employé hospitalié la nuit quant celui dont elle était prisonnière passait ses journée bière a la main a regarder en compagnie d'autre incompétent des matchs de baseball, et ceci simplement afin de ramené ne serait-ce que le nécessaire au bonheur de celui qui était à présent son enfant. Le quotidien n'était pas rose, Craig dépendant à de multitude de substances illicite ou non s'avérait le plus souvent violent, la considérant comme un objet responsable de tout ce qui n'allait pas.
Au court de son enfance, Elliot avait été le témoin principal de tout ces débordements et déchirements, parfois même il en faisait lui même les frais. Et il s'était jurer que dès lors qu'il en serait capable il vengerait celle pour qui il vouait un amour inconsidérable. Mais voilà, encore une fois la vie fut une chienne et lui retira la seule lumière qui éclairait sa vie.
Cimetière de Vancouver, Californie,
2007.
Un silence pesant et une atmosphère de deuil, ainsi s'installa cette première journée pour Elliot. Cette première journée sans celle qui lui avait tout donné quitte à sacrifier sa propre existence. Elle était la raison pour laquel il s'autorisait à vivre, celle qui lui donnait l'espoir. Il avait grandit avec un objectif en tête, aujourd'hui il était vain, celui de faire tout ce dont il était capable pour les sortir de cette merde et les emmener loin d'ici mener une vie meilleure. Mais voilà, le seigneur ne lui avait pas laissé un délai suffisant, et il avait laissé impuissant Craig assassiné celle qu'il aimait par dessus tout. Elliot se rappelait être rentré tard ce soir là, il avait donné des cours particulier toutes la soirées, c'était le seul moyen qu'il avait trouvé pour contribué à la vie de cet famille et soulagé sa mère rien qu'un peu du dur travail qu'elle était contrainte d'endosser tout les jours. Mais ce soir là en rentrant, il n'avait pas vu la voiture de Kaithleen. Il s'était alors avancé sur le porche lentement, sac sur les épaules et n'avait eu le temps de passé la tête par la porte d'entré que déjà Craig dans une euphorie démente l'attrapait par le col et le plaquait contre le crépis délabré de la petit maison de seconde zone en l'assénant de coup de poing au visage. Il hurlait et crachait sur le jeune homme tel un animal enragé, les yeux sortit de leurs orbites. Dans ces quelques cris inintelligible, Elliot avait cru comprendre, les idées pourtant bousculé par les coups, qu'une violente dispute avait éclaté à propos des finances que sa mère avait voulu privilégié aux futur études de Elliot et non à la nouvelle voiture qu'avait décidé Craig. Elle était alors partit au volant de sa voiture mutilé et presque invalide pleurant sa détresse. Il criait et pleurait que le téléphone avait sonné tout en continuant de s'acharner sur le jeune homme pétrifié. En effet Elliot commençait a comprendre. Craig s'était alors effondré sur le sol venant a bout de ses toutes dernière force, du sang avait commencer a couler de son nez. Puis il le dit. Les mots s'arrachèrent de sa gorge. Aveuglé par les larmes qui ne cessait de noyer ses yeux, elle n'avait pas vu ce feu, et pourtant elle empreintait cette route tout les jours, mais cette fois ci elle l'avait manquer. Le Quatre-Quatre contenant le couple Kinston et leurs deux enfants n'avait pas su freiner a temps et les deux voitures s'étaient percuté d'une violence rare. L'accident les avaient tous emporter. Elle était morte.
Devant le cercueil fermé de sa mère, Elliot n'arrivait pas à pleurer. Son être emplit d'une tel râge qu'elle ne pouvait laissé place a la tristesse. Il regarda autours de lui. Personne. Il avait été seul a assisté aux obsèques, toutes la répugnante populace de cette misérable ville ayant préféré assisté a celle de la riche petite hypocrite famille Kinston, sinistrement tués par cette petite dépravé des banlieue qui n'avait su gardé le contrôle de son véhicule sûrement sous l'emprise de l'alcool ou de drogues, sûrement les deux.
...Vancouver me manquais, j'étais arrivé ici, simplement parce que certaine personne pensait de moi que j'étais brillant, mais je ne l'étais pas. La seul et unique raison pour laquelle cet école avait fait de moi un de leurs élèves était que j'avais touché une colossal somme d'argent arrivé de nul part. Je soufflais, exténué. Et décidais donc, sur la crasseuse banquette de cette boite étudiantes de rentrer me vider la tête chez moi. Ce n'était probablement pas Vancouver mais bien
elle qui me manquait. Elle n'était plus là, je n'avais donc plus rien à faire là-bas. Je devais me faire à cette vie, à cette ville.