tell me more, tell me more.

Y'a ce haut le coeur qui vient et qui ne part pas. Y'a ses deux yeux qui s'écarquillent tandis que tous les autres ils applaudissent. Y'a sa tête qui comprend pas pourquoi elle lui annonce de la sorte, pourquoi elle ne lui a pas dit plutôt. La petite, elle savait comment il réagirait. Elle savait qu'il l'aurait emportée sur-le-champ, qu'il ne l'aurait pas laissée annoncer cette proposition plus que stupide devant tout le monde. Mais là, il ne peut pas l'enlever, pas devant tout le monde, pas devant tous ces gens qui semblent si heureux, si ravis du prochain mariage sur leurs agendas bien chargés. Lui, il veut vomir, il veut tout sortir tout en ne laissant rien rentrer. Y 'a ce tout qui se mêle, qui s'entremêle jusqu'à lui donner l'impression de totalement divaguer. Une vaste blague, c'est la seule explication raisonnable, la seule qu'il pourrait encore admettre comme plausible. Dans un silence circonspect, il attend, pas très patiemment, la sortie de caméras qui ne viennent pas. Non, il est seul contre cette marée humaine d'un bonheur qu'il considère comme infâme. Il les regarde, ce futur couple marié et rien ne lui vient. Parce que tout ne lui parait pas vrai. Parce qu'une femme ne peut pas se réveiller un matin et décider d'épouser un homme comme Alexandre DeValleroy. Ce type n'a rien pour lui. Un menton trop prononcé, des yeux qui parfois se disent merde à l'autre et surtout un rire qui donne envie de partir en courant. Non, rien ne pourrait pousser une femme à l'épouser, si ce n'est la beauté que certaines idiotes pourraient lui trouver, beauté qu'il se refuse bien de voir ou encore son compte en banque qui promet à la future Madame DeValleroy de pouvoir glander toute sa vie sans pour autant éprouver la moindre difficulté bancaire. Un parti que beaucoup considérerait comme plus qu'acceptable mais pas lui, pas dans ses conditions, pas s'il l'épouse elle. Elle sourit et cela ne fait que lui donner plus envie de la secouer. Elle a l'air amoureuse mais pas transie, pas comme dans le vrai amour, celui qui prend tout et ne laisse rien sur son passage. Il devrait presque rire jaune d'une telle pensée. Qu'est-ce qu'il connait à l'amour ? Lui le baroudeur, l'homme jamais pris mais toujours en train de prendre. Lui, il n'aime pas, il ne se laisse jamais attendrir par une vérité universelle qui n'a pas de place dans une vie équilibrée d'un jeune homme qui veut bien vivre. Non, le mariage n'apportera jamais son bonheur mais pour elle, il ne veut pas de cela. Pas d'une demi-mesure qui finalement l'enfermera dans une routine qu'il trouve inacceptable pour elle. Non, tout ce qu'il voit, ressent le pousse à la prendre sur son épaule et l'emmener loin, le plus loin possible de cette mascarade qui n'a ni queue ni tête. Sans vraiment réfléchir, il se saisit de son poignet, son si frêle poignet que l'autre a sans doute touché, s'il s'est contenté de cette partie de son anatomie. Rien que cette idée le rend encore plus malade. Rapidement, il l'entraine à l'écart. Parce qu'ils voudront l'en empêcher, parce que la dernière explication plausible lui parait encore plus étrange que toutes les idées qu'il a déjà mises de côté. « Dis un seul mot et dans une demi-heure nous aurons quitté le pays et plus jamais tes parents ne t'obligeront à épouser un pareil homme. » Son dernier espoir s'envole avec le regard qu'elle lui lance, comme s'il venait de tout gâcher, de ruiner la journée de l'annonce de ses fiançailles. « J'aime Alexandre, je veux l'épouser, personne ne me force à agir. » L'emmener de force semble toujours une option envisageable mais le regard légèrement embrumé de sa meilleure amie lui dit l'inverse. Non, elle ne lui suivra pas, elle reste là, dans cette comédie qui finira en tragédie. Le fiancé ne tarde pas à faire son apparition comme pour renforcer l'esprit dégradant de cette mise en scène. Ils se tiennent, se réconfortent, il s'inquiète de son bienêtre et tout semble si faux. Une voix en lui ne cesse de lui répéter que quelque chose cloche, que leur bonheur ne se terminera pas l'un avec l'autre, qu'il doit empêcher cela par tous les moyens. « Très bien, félicitations à vous dans ce cas. J'ai un examen important dans quelques jours je vais réviser. Lou on se revoit bientôt. » Sans s'inquiéter pour le futur époux, sa bouche vint se placer doucement sur la joue de sa meilleure amie, d'une manière un peu trop lente, pas trop innocente. Un moyen de le jauger et rien de bien ne sort de cet exercice. S'il part en acceptant l'union ce n'est que pure mascarade. Ces dernières paroles ne sont qu'une habile diversion dans la recherche de la vérité. Quelque chose ne colle pas dans cette histoire, dans cette future union et à partir de maintenant, jusqu'au potentiel mariage, il fera tout ce qui est en son possible pour découvrir la vérité et empêcher sa meilleure amie de foutre sa vie en l'air avec un homme qui ne sera jamais capable de l'aimer à sa juste valeur. Mais lui qu'est-ce qu'il connait de l'amour ? Lui l'homme volage ? Rien ou peut-être bien plus qu'il n'est capable de le reconnaitre.

L'élégance dans toute sa splendeur, des années de leçons sur le savoir-vivre maintenant réduites en néant par la tenue d'Auxence. L'homme se plait à ne porter qu'un simple boxer tout en se baladant dans l'appartement où il a élu domicile. Techniquement parlant, il est plus un squatteur qu'un colocataire, un jour, il est arrivé et depuis son postérieur refuse de partir tout comme le reste de son corps. Peut-être qu'il devrait se montrer plus délicat et ne pas se promener de cette manière dans un appartement qui n'est pas totalement sien mais il s'en moque un peu. Parce que c'est Louve et que cela ne requiert donc aucune explication. Parce qu'elle est sa meilleure amie et que par moments, il a juste envie de l'énerver un tout petit peu, d'observer cette petite ride qui se forme sous son oeil droit lorsqu'elle se met doucement en colère. Se servant une tasse de café, il se moque de la vaisselle qui s'entasse dans l'évier et sur sa responsabilité dans cette affaire. Des années à être servi sur son derrière amène quelques mauvaises manies comme celle de ne pas vraiment vouloir se salir les mains. « La vaisselle ne va pas se faire toute seule tu sais. » Un sourire taquin vint s'inscrire sur ses lèvres avant que ce dernier ne soit remplacé par un choc profond. Devant lui se tient bel et bien sa meilleure amie mais dans une tenue bien loin d'être descente. Pour peu, il en aurait perdu sa tasse. Sa chevelure non coiffée lui donne un air de lionne prêt à sauter sur la première personne qui la contredira aujourd'hui, son petit débardeur laisse peu de place à l'imagination tandis que sa culotte laisse ses jolies jambes totalement dégarnies. « Comment oses-tu te promener de la sorte devant moi. Mes yeux, mes pauvres yeux. » Il joue l'idiot pour ne pas lui laisser voir le trouble qui s'est emparée de lui. Il sait qu'il est bien le dernier à pouvoir se plaindre de la tenue de la demoiselle puisqu'il est bien moins couvert qu'elle mais à cet instant cela n'a pas vraiment d'importance. Parce qu'il est lui et qu'elle est-elle et que dans son esprit cela veut bien dire que parfois leurs tenues peuvent être semblables mais ne pas avoir la moindre portée. « Je te signale que tu ne portes qu'un boxer et que lorsque tu sors de la douche tu ne te gênes pas pour me montrer certaines parties de ton anatomie. » Immédiatement, son visage se moue en une expression choquée comme si ce qu'elle venait de dire est la pire chose qu'il soit. Il sait bien que ce n'est pas le cas et pourtant, il continue d'agir de la sorte parce que c'est plus facile ou surtout parce que cela lui permet d'agir sans réfléchir. « Techniquement parlant, je le fais seulement quand tu n'es pas là. Je ne pouvais pas prévoir que ton horaire allait soudainement changer et que j'allais me retrouver dans le plus simple appareil devant toi. Et puis la vue de mon anatomie n'a jamais été source de déplaisir pour aucune femme. » Elle roule des yeux et il sourit fier de son petit effet, tout en sachant qu'elle répliquera. Parce que c'est comme cela entre eux, une suite de petites piques pas bien méchantes ponctuées de moments tendres devenant parfois étranges. Parce qu'elle est partie et qu'il l'a retrouvée. Parce que quelque chose n'est plus comme avant même si elle refuse de lui divulguer l'objet de cette différence. « Tu es irrécupérable mais tu as tout de même intérêt à faire la vaisselle. » Il n'est pas un homme d'intérieur, il ne le sera jamais et tu sais immédiatement quoi lui répliquer parce que certaines choses font mal dans un sens comme dans l'autre. « Si tu y tiens, je demanderais à ma prochaine conquête de s'en charger. » Son oeil droit gagne la petite ride qui lui indique qu'elle n'apprécie que moyennement sa proposition et finalement, il la comprend. Parce qu'il s'invite chez lui et ramène dans son sillage une ribambelle de demoiselles aptes à salir les draps et décharger leurs cris de plaisir. « Je n'ai pas envie que mon appartement devienne ton petit bordel personnel. Si tu tiens tant que ça à devenir un serial baiseur peut-être devrais-tu te laisser tenter par ton propre endroit. » Tout à coup, il se choque avant de venir se placer devant elle, le regard un peu suppliant, tout en restant toujours bien trop taquin. « Et me priver de ta compagnie, jamais. » C'est une journée comme une autre, pour deux personnes qui ne le sont pas.

BIENVENUE SUR JAME.
J'aime bien le début de ta fiche.
Bon choix de scénario en tout cas et bon courage pour le reste de ta fiche.

Merci beaucoup Aaron

Bienvenue et bon courage pour ta fichette

Bienvenuuuuuuuuuue sur FAME
Bon courage pour ta fichette and have fun !

Hello
Bienvenue sur FAME ! Amuses toi chez nous

Très bon choix de scéna !
Bonne chance pour la suite de ta fiche et BIENVENUE PARMI NOUS!

bienvenue parmi nous

Taissa : merci beaucoup héhé tu as compris la référence

Ysabel (et la sublime olsen) : merci beaucoup

Bethany : merci beaucoup

Avery : merci beaucoup également

Barbie girl : merci

Ashton : merci beaucoup

Karma is a bitch : thanks

Gaëlle : merci beacoup

Louve : aucun soucis t'en fais pas et merci beaucoup de ta part j'espère que ma fiche te convient

D'ailleurs j'ai terminé ma fiche

Pour moi tout est parfait. J'aime ton style, il est si envoutant.
J'ai MP Louve pour qu'elle donne son accord et ensuite tout sera bon.

Double post, pour te dire que j'ai eu la validation de Louve, qui trouve, comme moi, que ton style est sublime ! Vos rps promettent de belles choses.

TE VOILA VALIDÉ!
Pour que ton aventure parmi nous soit complète, n'oublie pas de recenser ton avatar. Une fois ceci fait, tu peux demander un logement ou un métier par ici (ou bien d'autres choses ). Si tu souhaites qu'un lien important pour toi débarque sur JAME, pense à créer un (ou plusieurs ) scénarios. Si tu veux savoir comment gagner des points, rends-toi ici . Pour finir, un petit vote et une montagne de bisous s’abattra sur toi. Je ne t'embête pas plus longtemps.

BON JEU !

Merci beaucoup de votre part